
AU FIL DES DEPARTEMENTS : https://lamarante-des-artisans-francais.com/contact/
A FLEUR D’EVIDENCES
Rien n’est plus incertain que la conscience
La sagesse maitresse par ses mots affiliés
Murmura aux oreilles de son estudiantin(e) :
‘’ Nous nous laissons souvent séduire,
Et sans fondement sur la belle vision,
Comme tout à chacun et chacune,
D’une certitude nouvellement née,
Croyons fort aisément,
A ce que nous craignons des plus grands désastres
Et désirons du plus grand des plaisirs’’…
Après 40 ans dans la grande cité lyonnaise Michel Asti se retrouve en 2013, par les hasards du destin, en conditions de sérénité idéales pour engager cet exercice d’écriture. Fin 2021 il obtient sa retraite, après 8 ans au RSA, ce qui lui permet d’envisager l’avenir sous de meilleurs horizons, tout en continuant à pratiquer l’écriture, dans un nouveau lieu de résidence, et ainsi… https://lamarante-des-artisans-francais.com/2022/06/27/presentation-michel-asti-auteur/
LES ARTISANS, PME – PMI – TPE, ENTREPRISES FRANCAISES SONT PRECIEUSES. LEURS SAVOIRS-FAIRE TISSENT, MAINTIENNENT, CONSOLIDENT LES LIENS DANS ET ENTRE LES TERRITOIRES. IL N’EST PAS NORMAL QUE LEUR TRAVAIL ET PROFESSIONNALISME SOIENT BAFOUES PAR UNE CONCURRENCE DELOYALE, PRATIQUEE PAR DES DENEGATIONS A PEU DE MORALE CITOYENNE, ET CELLES NE RESPECTANT PAS LES REGLES DU COMMERCE, LOIS ET CODE DU TRAVAIL AFFILIES A LA LEGISLATION D’UN SYSTEME SOCIO-ECONOMICO-CULTUREL FRANCAIS EFFICIENT… LEUR IMAGE NE DOIT PLUS SE FAIRE AU RAPPORT DE CETTE COMPETITION DEGENERATIVE, MAIS PAR LA VISION DE LEUR REEL SAVOIR-FAIRE ET JUSTE SAVOIR-ËTRE, AVEC LEURS CLIENTS ET PARTENAIRES SOUCIEUX DE DEONTOLOGIE ET DES NORMES ETHIQUES DE FABRICATION, DE DISTRIBUTION ET LA REELLE VALORISATION DE LEURS PRODUITS…
EXEMPLE : https://lamarante-des-artisans-francais.com/2017/10/30/le-puy-de-dome-63/
L’addition des compétences fait l’évolution de tous systèmes sociaux économiques et culturels
LA CHARTRE DE L’AMARANTE sur : https://lamarante-des-artisans-francais.com/2017/10/26/la-charte-de-lamarante/
‘’L’Amarante des Artisans Français’’ s’engage à créer un blog et en assurer l’historiographie évènementielle au fil de l’édition des statuts ; en coordination avec l’entreprise adhérente aux principes de l’AMARANTE. Si l’entreprise possède déjà un site internet, elle délèguera la gestion de ce site à l’AMARANTE. Une mise à jour de ce site sera faite suivant le nombre de publications mensuelles spécifiées dans un contrat entre les deux parties, et cela en fonction des demandes, besoins et utilités statiques de l’entreprise en termes de communication et de représentations de ses activités professionnelles. L’AMARANTE assurera la mise en page d’articles, photos, textes, statuts et tout objet visuel sur le blog de l’entreprise affilié au site : « www/lamarante-des-artisans-français ».
L’entreprise adhérente autorisera la société ‘’l’Amarante des Artisans Français’’ à prendre en compte son référencement sur le site : « www/lamarante-des-artisans-français », la gestion de son image professionnelle dans son secteur d’activité, le tissu industriel et commercial national, ainsi que l’application de la charte de L’AMARANTE, conformément à l’objet du contrat.
L’AMARANTE s’engage à apporter son expertise dans le domaine de la communication, du marketing et l’accompagnement de l’entreprise adhérente afin de mettre en place et développer les moyens nécessaires et utiles à la valorisation de l’image professionnelle de l’entreprise adhérente conformément aux normes éthiques, bioéthiques, valeurs déontologiques, règles législatives et sanitaires, codes du travail, de la sécurité et de l’emploi, cahiers des charges de chaque branche d’activités professionnelle fonction des texte de lois établis par la législation française de l’industrie et du commerce.
Le but en est le référencement de toutes entreprises, PME, PMI, TPE de production de matières premières, végétales et organiques, s’établissant dans ses pratiques de culture, d’élevage, de transformation, de production, de commerce comme une société ou entreprise respectant les normes éthiques, bioéthiques, écologiques dans et par ses pratiques, savoirs, procédures de gestion et jugements, aptes à maintenir un écosystème respectueux de l’environnement, de la biodiversité et des biosystèmes, dans un système sociologique à réseaux ‘’humains’’, tant dans son département, sa région, qu’au niveau national, conformément aux normes françaises, valeurs, règles législatives et sanitaires, codes du travail, de la sécurité et de l’emploi, cahiers des charges de chaque branche d’activités professionnelles, déontologie liée à la vente de biens et services dans le cadre des échanges commerciaux établis par la législation et les droits affichés à la République Démocratique Française.
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Toute belle valeur ajoutée se définie par tous ces citoyens et citoyennes proches de la belle conscience lorsqu’elle est exercée avec lucidité, sincérité, honnêteté, accompagnée par tout l’amour et la déontologie des savoirs faire afin qu’ils, elles, puissent aspirer à ce que cela devienne un ‘’art’’ de vivre… Pour les générations arrivantes !… Et celles en partances…
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L’entreprise ne fait pas les femmes et les hommes ! Ceux sont les écosystèmes sociétaux de ceux et celles d’avant et de maintenant qui les éduquent, les imaginent, les composent, les ordonnent et les font vivre, afin qu’ils, elles participent par l’addition de leurs savoirs faire et compétences particulières à l’évolution de la belle sensibilité socio-économico-culturelle du savoir être dans les sociétés et entreprises du Monde.
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Lorsque la société soi-disant évoluée inhibe trop tôt les rêves de sa jeunesse, et maintient trop longtemps une grande partie des générations précédentes dans le cauchemar des désillusions, elle ne saurait évoluer vers autres chemins que ceux du désespoir… De la rancœur… Et de l’indifférente violence… Psychologique… Où celle physique risque parfois malheureusement d’apparaître.
Voir présentation sur : http://mickael-montest.e-monsite.com/
Et, journal Facebook : https://www.facebook.com/michel.asti
La culture, le savoir et la connaissance sont le sel de la vie
Les sincères amitiés et la réelle fraternité en sont le sucreLes yeux de l’homme ne réussissent à percevoir les choses que par la… ; connaissance de leur superficialité ; pourtant l’intelligence humaine a les ressources pour donner forme à leur essentialité.
Sans ferveur et passion la vie s’écoule tristement…

LES VILS MONDES
Il y a des temps, comme ceux-là, pendant lesquels, au seuil de votre porte, la nature vous invite à fuir l’image de plomb des villes de grandes certitudes. Là, faisant petit retour en arrière, quant à mon ancienne existence citadine, je me mis à penser à cette extraordinaire maitresse qu’est la vie. J’eus envie, cet après-midi, dans la douceur des couleurs de l’automne, de remercier sa belle nature profonde, notamment, pour m’avoir exfiltré du chaos de la grande (Ï) cité lyonnaise à cheval sur deux fleuves, en 2013, sans quoi j’aurais certainement sombré ou alors serais devenu fou. La résonance du miroir est souvent difficile à absorber et ce là n’est point mesure, en tel envers telle et réciproquement, comme de tel ou tel âge, et toujours moins envers soi-même car plus l’égo prend position importante dans l’espace des désirs, particuliers, inassouvis au détriment du temps de l’observation et de l’adaptation plus la rupture de l’homme sous dimensions touchantes et d’avec celles touchables des Espaces Naturels sera inaliénable, inabordable, insolvable et in achetable… Au fond on aime chez les autres ce que l’on a, pendant des années, souvent ; bâillonné et parfois que l’on reconnaît, spontanément. Certes la cueillette, du jour, ne fut pas grandiose, mais les deux ceps accompagnés des quelques mousserons des bois concoctés en omelette feront l’affaire et combleront mon appétit. Comme ces deux heures et demie à arpenter bois et chemins sur les monts sereins m’ont permis de me vider l’esprit de la folie des hommes. J’eus, en début de soirée, une pensée envers mes filles et p’tits enfants tout en me demandant :
‘’ dans quel monde vit-on ?…’’ A mettre un masque sur le visage des enfants à partir de six ans ; plutôt qu’à faire analyse objective des causes et actes ayant engendré les néfastes effets de la condition humaine ‘’moderne’’ sous gestation du consumérisme endiablé des vils mondes, se refusant par là-même de comprendre les cycles de la vie terrestre.
C’était une fin d’octobre 2020, sur les monts sereins.
Je souhaitais juste retrouver un emploi dans mon domaine d’expérience afin de terminer ma carrière professionnelle et ainsi à pouvoir disposer de la totalité de mes trimestres afférant à une retraite complète, qui m’aurait permis d’avoir un revenu de retraite d’environ : 1 700 € /mois. Ce ne fut le cas. Après 36 années à avoir été un bon ‘’petit soldat’’ dans ce système de bien(s) et services marchand j’étais, à 54 ans, devenu chômeur sénior affilié au statut du Revenu de Solidarité Actif – RSA. Avec du recul par rapport aux évènements aliénés à la grande cité lyonnaise à cheval sur deux fleuves, ainsi qu’activités ‘’humaines’’ exercées dans d’autres métropoles, je me suis mis à penser que mon exclusion du système citadin suivi par l’aménagement d’un nouveau lieu de résidence, en août 2013, situé à 800m d’altitude sur une colline de la Loire ne fut pas chose néfaste, mais plutôt salutaire… et arrivée au bon moment. Cela me permis de disposer d’une zone de confort éloignée de la grande (Ï) cité, absorbée par le diktat du temps aliéné à quelques vils opportunistes et néfastes complotasses.
La parole est d’argent et le silence est d’or,
Travailler plus pour gagner plus,
Le travail c’est la Liberté.
Et le pire n’est jamais certain.
La curiosité est le meilleur remède contre l’ennui.
A l’ère des réseaux de retransmission de l’information et des connaissances l’ignorance est un choix. Les croyances et les vies, comme les espoirs et les mésaventures, passent sous la meule du temps.
L’écriture est le meilleur moyen de s’exprimer sans être dérangé. Jules Renard
Elle devint, début 2013, après avoir tout perdu de mon existence citadine, une compagne de voyage et d’agréments d’avec laquelle je puis me reconstruire. Sa présence m’a assurément empêché de sombrer et devenir fou. Et à l’aube de ma retraite, je ne pense pas avoir d’autres mérites que celui du temps – de l’observance – devenu, depuis huit années, plus respectueux des limitations de vitesse du mien.