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La coordination est : “ l’agencement des parties d’un tout selon un plan logique pour une fin donnée ”. Alain Rey
Au-delà des quarante malencontreuses

LE LIVRE EST UNE OUVERTURE SUR LE MONDE.
Chute n’est pas un échec ; l’échec est de rester là où on est tombé
Parution en Novembre 2021 au https://www.lysbleueditions.com/ Catégorie Essais
Après ‘’Au vent des émois’’ Catégorie Poésies en Mai 2021

Dans la vie, tu as deux déversoirs : soit te lamenter, ou bien argumenter. Le moteur efficace de la recherche et de l’évolution positive est la collaboration et non la concurrence effrénée. L’ignorance engendre souvent l’irrationalisme puis les dogmatismes infondés…
Puis à dire qu’il faudrait être requis plus longtemps à certains mécanismes de production obsolètes et transfert de richesses, sans suite, où le sénior devient chômeur à 55 ans, comme si l’expérience n’avait plus aucune valeur. N’y aurait-il pas quelques dysfonctionnements… ; dans ce système social-économique, arrivé à bout de souffle ?
Plus le diable en a… plus il en veut asseoir. – Jacques Lagnier (1620-1672)
La société qui repose sur l’industrie moderne n’est pas fortuitement ou superficiellement spectaculaire, elle est fondamentalement « spectacliste ». Dans le spectacle, imagé de l’économie régnante, le but n’est rien, le développement est tout. Le spectacle ne veut en venir à rien d’autre qu’à lui-même.
La société du spectacle – Guy Debord
Clanisme : « Comportement de personnes unies par une parenté de type clanique et qui recherchent leur intérêt commun sans se préoccuper des règles sociales et des lois. »
Lorsque la société inhibe, trop tôt, les rêves de sa jeunesse et maintient, trop longtemps, une trop grande partie de la génération précédente dans le cauchemar des désillusions, elle ne saurait évoluer vers autres chemins que celui de la division.
La brouette ou les grandes inventions
Le paon fait la roue
Le hasard fait le reste
Dieu s’assoit dedans
Et l’homme le pousse.
Jacques Prévert, Paroles
Dans la vie, tu as deux déversoirs : soit te lamenter ou, bien, argumenter.
Le moteur efficace de la recherche et de l’évolution positive est la collaboration et non la concurrence effrénée.
L’ignorance engendre souvent l’irrationalisme puis les dogmatismes infondés…
Tous nos désirs, actions, souhaits, réactions, comportements, etc. sont-ils imaginés et principalement endigués par, pour et avec l’autre ?
Uniquement pour soi ? Pour un clan ? Pour un groupe ? Pour une communauté ?
Des écosystèmes en échanges de bonnes intelligences ?
Des biosystèmes en utiles savoir-faire et essentiels savoir-être ?
Au nom de tous ces petits êtres humains en devenir et les générations arrivantes ?
Dans le monde naturel dû et des VIVANTS…
C’est bien souvent en allant au fond de soi que l’on acquiert l’humilité, que nous réussissons à comprendre la grandeur de la nature, l’extraordinaire beauté du monde et percevons notre faiblesse vis-à-vis de la puissance, immense, de l’univers…
Quel est le plus important : réussir ou trouver un sens à votre effort de réussir ?
Si l’enfer est un tunnel creusé par une colonie munie de pics d’incertitude, alors la raison est un bouquet d’attentions que l’on arrose de lucidité. La culture, les savoirs et la connaissance sont le sel de la vie. Les véritables amitiés et la réelle fraternité en sont le sucre.
Les yeux de l’homme ne réussissent à percevoir les choses que par la… connaissance de leur superficialité pourtant l’intelligence humaine a les ressources pour donner forme à leur essentialité.
FRONTS-TEXTES
Non, ne comptez plus sur moi.
À vous faciliter vos tâches de satrape
En écoutes de diktats simiesques,
Prendre vos ordonnances, argent comptant,
Avec croyances en soumission de veaux,
Agencés dans boxes à blé, coupé, de tout…
Dans vos bourses, rien, ne sera que ma défense.
Non, ne me demander plus encensement.
À discourir en falsification, par doctes de vaseline,
En glissement de tables assassines, inquisitrices,
Lire vos écritures livides – vies textes… ;
Avec illogismes, en narcissisme de books,
Affriolées en lisseuses à cache-misère…
Hors de vos vestibules, culture ne sera que ma suite.
Non, ne m’obliger pas à adhérer,
À devenir membre dissident, à temps perdu,
En usurpation de synoptiques humanistes,
Échange en partisanneries de cave,
Avec philosophie politique sans attention,
Primées dans des devises, de nazes,
Hors de vos partis, expressions seront mon signe,
Non, n’espérer plus vengeance, en thèse nulle,
À croire à paralogismes iniques, hors humains.
En prisme de sollicitudes vaines, partitions manquées,
Se souciant plus des cieux que de la TERRE,
Avec sémio-centrisme en bio-scènes de destruction,
Postulats derrière les remparts d’un château de cartes,
Hors de mes songes, l’imaginaire sera mon creuset…
Michel Asti – Au vent des émois – page 118-119
MEMOIRE D’UN RSA-YSTE SENIOR – DE HUIT ANS – DEVENU AUTEUR EN 2021
1 – EDITO
PAGE 5
[…]
De la même manière, il y a certaines vérités générales, sur les choses réelles dans le monde commun de l’activité, qui seront obscurcies lorsque l’attention est limitée à un mode particulier de les considérer. Ces vérités générales, impliquées dans le sens de chaque notion particulière qui respecte les actions des choses, sont le sujet en plus (+) de la philosophie spéculative. La philosophie détruit son utilité quand elle se livre à de brillantes prouesses d’explication. Il s’agit alors d’une intrusion avec le mauvais équipement dans le domaine des sciences particulières. Son ultime attrait est la conscience générale de ce que nous vivons dans la pratique.
Quel que soit le fil du présupposé qui caractérise l’expression sociale dans les diverses époques de la société rationnelle, il doit trouver sa place dans la théorie philosophique. L’audace spéculative doit être équilibrée par une humilité complète devant la logique et devant les faits. C’est une maladie de la philosophie quand elle n’est ni audacieuse ni humble, mais simplement le reflet des présupposés de tempérament de personnalités exceptionnelles. Par analogie, nous ne faisons pas confiance à toute refonte de la théorie scientifique qui dépend d’une seule exécution d’une expérience aberrante, non répétée. Le test ultime s’est toujours répandu dans l’expérience récurrente ; et du plus général des schémas rationalistes, comme le plus important est cet appel final. La fonction utile de la philosophie est de promouvoir la systématisation la plus générale de la pensée civilisée. Il y a une réaction constante entre la spécialisation et le bon sens. C’est la partie des sciences spéciales d’en modifier le bon sens. La philosophie consiste à souder l’imagination et le sens commun en une contrainte sur les spécialistes, ainsi qu’en un élargissement de leur imagination. En fournissant à la philosophie des notions génériques, il devrait être plus facile de concevoir la variété infinie d’instances spécifiques qui restent non réalisées dans le ventre de la nature.
L’épistémologie, les sciences humaines, comme l’observation du monde naturel et l’analyse ethnosociologique sont indispensables. Elles atteignent leur importance principale en fusionnant dans un schéma rationnel de la pensée.
PROCESS AND REALITY – Alfred North Whitehead
LA GRANDE DEMESURE
Il tourne et retourne autour des baraques de misère,
Cherche et recherche cette mise aux arabesques du ciel,
Il va et vient, il n’ose plus rien dire, aux notes de parterres,
Repère, archive, comptabilise des démons en décor de fiel.
Il n’ose plus inventer,
N’ose plus rien investir,
Ne savent plus s’ils doivent continuer,
Se fier à quelque Sainte Anne étreinte des Louis,
Prévoir, rassurer sur les toitures, des cathédrales, incertaines,
Puis s’en vont chercher l’aide de l’architecte de parvis,
Du géomètre, du promoteur immobilier et du maître usurier.
Tous se réunissent devant descentes de boues et montée des eaux,
L’air grave, ils sont prêts à pleurer, à supplier quelques cieux d’augure,
Dans la fièvre de leur infinie démesure, se penchent comme piètres sots.
Ils sont durement embarrassés sous la frange des lauriers,
Symboles de l’empire sans mesures, telle existence de dote,
Insignes fourgués aux malandrins, prisés des rois la culotte à l’envers.
Ils ont oublié, faits d’un refus à chercher la machine à peser les balances,
Ainsi, tout-à-loisir, comme concomitance de colifichets, allures précieuses,
Sur leur trente-et-un, ils ont hâte de promener leur nouvelle adresse.
Allez-donc, sieurs à la langue pendante comme chiennes à la bouche biblique,
Ne soyez pas outragés par les encres violines versées contre la morale publique,
Epuisées de privations, les bonnes mœurs du diable s’en font épiques.
Michel Asti – L’ALBUM D’UN RETRAITÉ SUR FACEBOOK
La connaissance ; c’est de l’expérience. Le reste n’est, majoritairement, que banalités médiatiques, en défilement continu, sans réels fondements humanistes ni quelconques meilleurs sens analytiques envers une véritable justice sociale-économique. Au pays des Lumières, est-ce d’une logique législative positive au rapport d’un système de bien(s) et services attaché aux Droits de l’homme, comme de la Liberté, l’Egalité et la Fraternité, apposées aux frontons des bâtiments publics, ainsi de ceux des Mairies et du principe de traitements égalitaires des territoires ? La Vème République est-elle devenue une Régence en Gouvernances de Privilégiés d’avec Ordres pas très clairs… ?
Essayez de vivre avec moins de 500€ mensuel pendant huit ans…, et vous comprendrez, peut-être que sans minimum vital, digne d’une existence honorable, les horizons en liberté n’ont plus aucun sens existentiel, hormis, peut-être, l’un des moins hagards en celui de résister à la colère, par l’écriture, envers un système chaotique, individualiste et délétère… Voire pire.
2 – BILAN PERSONNEL –
Pages 17
3 – COHERENCE D’AVEC PROJET D’ECRITURE
Pages 29
4 – AVENIR EN TEMPS DE CHANGEMENT
Page 31
5 – PETITE HISTOIRE SUR LE RSA – POLITIQUES SOCIALES – DEMOCRATIE – REPRESENTATION –HUMANISME
Page 37
6 – CONNAISSANCE ET CLANISME
Page 53
7 – POESIE ENTRE LIBERTES & ATTACHEMENTS
PAGE 75
NOUS NOUS SOUVIENDRONS
Nous nous souviendrons, longtemps, de vos leçons formatées aux experts tordus, celles, maudites ; mandatées cyniquement, à l’usure des desseins parfumés aux couleurs solidaires,
Doctes fournis aux mains travailleuses,
Détournées par l’ombre brune ;
Désaffectées de l’oiseau pluvier.
Fragrances laissées aux abords des rives désenchantées, où l’eau s’évapore dans l’azur vicié.
N’avouerez-vous, jamais, qu’il ne saurait exister écosystèmes équilibrés sans reconnaissance de ce qui sépara la lumière des fiers(es) rebelles de la servitude des mornes aptitudes ?
Démons sombres, un visage, soudain, rit dans les bouffées des flammes cernâtes,
Le cercle des syncrétismes vaporisé aux cauchemardesques arômes ; habits sans mémoire, nous nous souviendrons longtemps de ce qui ne fit qu’odorantes espérances palpées par les courrais de lèche-vitrine… ; encensées des vitraux de l’obscurantisme…
Le genre humain ; de type mâle ou femelle, est-il une curieuse composition entre mots (maux) paradoxaux, afin de…, pouvoir ; peut-être, aller jusqu’à disloquer la nature et démembrer son propre univers… L’indifférence est-elle le plus bas degré de la liberté… ; entre Orgueil, Emprise, Usure et Félonie ?
Qu’il y eût quelques différences de compréhension entre la vérité et l’erreur entre la véracité et le mensonge, personne ne peut le nier. Mais, en toutes circonstances, la sincérité vaut toujours mieux que préférer tricheries, lâchetés et aliénation sournoise de petits « meurtres » entre amis(es).
Écoutez, hommes et femmes de vigie, ce sourd bruit, ancien, chargé de cris et de pleurs
L’acérage des corps voué aux hagards narquois comme aspect d’un œil noir et rageur
Aspect lisse, des rhéteurs sur gages, sans avenir, contre les dissidences en voix d’amertume
Résistances hourdis par des causes que rien ne veut, vastitudes aux abords des déchoquages
Gagner les îles vierges aux confins des vicissitudes pour n’entendre que veule chantage
Immatures collapsus des aplatis cerveaux aux paris sécuritielles de corpus d’avantages
Rares évanescences n’y servent que formes pathétiques, courbures d’avatars soumissionnés.
Élargir zones de combats n’y vaque qu’une guerre psychologique en entrées sans sortie…
Essayons de remplir les vides… […]
Remerciements
À tous ces « êtres » que je n’ai côtoyés, que grâce à leurs écrits et expressions diffusées sur tous supports papier, numériques, et autres vecteurs de transmission de leurs pensées et connaissances en tant de supports et référentiels du savoir scientifique, philosophique, éthique, historique, théorique, logique, linguistique et autres expressions poétiques, signes romantiques, biographies et mots indispensables à la compréhension du monde où nous vivons, ainsi que de l’univers où nous existons qui grâce à tous ces liens souvent intouchables, mais tellement touchant en l’amour du savoir, permettront, peut-être un jour, à l’humanité, d’atteindre la sagesse…
Michel Asti
Sur Terre rien ne manque rien n’est en trop tout est à sa place. Léonard de Vinci
«Tout le monde veut sauver la planète ; mais personne ne veut descendre les poubelles» – «J’ai la faculté d’assimiler la connerie ambiante comme les abeilles butinent les fleurs et prennent le pollen pour en faire leur miel.»
Jean Yanne
Est-ce ou fut-il temps…, de connaître le TITRE avant de commencer à écrire sur le SUJET ? Sachant que les peurs, l’inconscience ou les certitudes individuelles, quant à ces choses de la vie n’ont et ne sauveront jamais personne. Mais sait-on que taire toutes relations en échange de savoirs quant à la réalité d’un présent interactif ne saurait, en aucune orthodoxie – us & coutumes – engendrer imaginaire attractif autorisant étude du véritable sens d’une curiosité utile à penser le libre arbitre comme une dissertation entre liberté d’être et accords en attachement d’une historiographie bordée au courant d’un potentiel futur respectueux du temps des actions concertées, voire attentionnées…
DERRIERE L’INCANTATION
Qu’avez-vous gardé, sous vos mains proscrites de l’inaccessible objet du désir, derrière vos paupières fermées devant les tragiques besognes de celles et ceux qui voulurent quelques bienséances, que je ne puisse imaginer des chemins de souvenir ; où aujourd’hui, à l’automne de mes sentiments s’étiolent le bruissement des feuilles de liaisons ?
Ni les présences qui nous sont connues, ni derrière les paravents de babioles, n’y parussent l’ordre des idées humanistes comme celui des choses de la vie de l’homme. Ni même la connaissance parfaite de la Terre, de ses biosystèmes et écosystèmes comme de la grave mention cognitive qui s’en tient de celles et ceux voués à une personnification en déification de la somme des inconstances incantatoires n’y pouvait, peut et pourrait sauver la justice de la terreur intellectuelle de la prédation des voraces refusant les lois de la physique de la matière comme les règles de la conservation du mouvement en limites positive et négative de l’homme quant à l’hypertrophie en possession des objets comme des sujets dans notre monde fini.
Il n’est point de pire remède que de laisser croire fermement qu’un seul réussirait à réunifier ce qu’il reste des sciences humaines à reprendre l’œuvre au point où la nature l’eut réalisée d’avant le résultat des espaces artificialisés par la productivité des insatiables. C’est toujours en atrophiant les pôles de leur substance en flux vitale au profit d’un autre qui font les êtres incomplets d’avec une sujétion psychologique envers fonctions honteuses des armes législatives comme celles d’une communication invectivée aux seuls moyens sans but véritable, hormis les fonctions d’accaparement impérieux.
Sans doute le sujet sachant et pensant sera pour longs temps, encore, limité mais le pouvoir illimité, et par le contrecoup du savoir acquis par l’humanité ayant amené la croyance à une ‘’race’’ supérieure qui dans cette création anachronique aurait, seule elle, le droit de gouverner les sensibilités singulières de l’être humain.
Lorsque tu auras les capacités et facultés de voler de tes propres ailes, ne laisse, jamais, le droit à quiconque d’obscurcir ton horizon, tes libertés et ton émancipation. Si tu sais être cohérent(e) sans être en rage. Si tu sais méditer, observer et connaître, sans jamais devenir septique et destructeur.
Si tu arrives à conserver tes rêves, sans en être esclave et si tu sais être attentionné(e) à ces ‘’choses de la vie’’, sans te mentir a toi-même, alors tu percevras que l’existence est une extraordinaire composition entre Libertés et Attachements… Ainsi va le monde. Il en est des hommes comme des différents vins, qui ne s’aigrissent pas en vieillissant. J’approuve la sévérité dans la vieillesse pourvu qu’elle soit modérée, comme tout devrait l’être… Entre Libertés & Attachements – Février 2022
3 réflexions sur « MEMOIRE D’UN RSA-YSTE SENIOR DEVENU AUTEUR EN 2021 »