DEMEURES EN SURSIS…

« La fin du pays de Saint-Bonnet-le-Château et le partage des communes comme proposé par le préfet ne sentirait-il pas comme la fin de cette dynamique de vie que nos villages avaient su développer au fils des ans ? » Plus tôt dans la soirée, les représentants des communes se sont retrouvés au sein de la communauté de communes afin de soumettre leurs votes : 30 non à la proposition pour 5 oui.

LES RATS DES CHAMPS VS CEUX DES VILLES

Les rats des champs et ceux des villes ne se comprennent pas, ne se parlent plus, mais se regardent souvent en chiens de faïence.

Ces neuf années passées en vos lieux m’ont permis d’analyser vos veules dissidences, parfois élaborées aux voix de réactionnaires activées par des formes complotasses ne servant en aucune manière la solidarité nationale mais uniquement les acquisitions matérialistes de ces rats des champs mettant en œuvre les plus basses besognes contre la communication objective (refus des compteurs Linky, des antennes 4 et 5G, la fibre, les énergies alternatives, etc…), le progressisme technologique et sociologique, ainsi que l’évolution positive de la société française, au nom de thèses obscures véhiculant les pires fractures communautaires leur permettant de croire pouvoir conserver leur droit d’excrétions contre une véritable démocratie républicaine comme d’une réelle laïcité.

SDCI : non au découpage proposé par le préfet 

Rozier-Côtes-d’Aurec conseil municipal. SDCI : non au découpage proposé par le préfet (leprogres.fr) Le Progrès Loire

Oui, vous bailleurs d’habitations ne répondant plus aux normes énergétiques, voire frappées d’insalubrité. Vous bailleurs ‘’ruraux’’ (comme vendeurs de sommeil citadins) dont j’ai perçu les vices, de certains, consistant à laisser agir la situation par le pourrissement, se refusant, par là-même, de se conformer à la législation en vigueur, avec l’aide d’individus ‘’publiques’’ ; à peu d’éthique, qui pour certains groupes de bailleurs se ‘’dressent’’ contre la mise en place, en janvier 2023, des nouvelles normes énergétiques et écologiques concernant les bâtiments.

Oui, Vous, propriétaires de biens immobiliers – acquis, souvent, par filiation – refusant d’investir dans la rénovation énergétique de vos bâtiments, et de par cette situation titrée à un je m’en foutisme patent quant aux consommations énergétiques, liées à cette déperdition calorifique, engendrant dépenses inutiles des habitants(es), notamment dans des proportions inacceptables envers celles et ceux se trouvant en situations de précarité.

Oui, vous, vieilles badernes, assis sur votre Veau-d’Or, vous êtes une plaie pour l’économie de la nation française, tels des vauriens refusant le progressisme technologique, comme l’évolution positive de la société, qui n’ayant aucun esprit citoyen se gargarisent, souvent, de leurs méfaits.

Oui, vous qui bafouez les droits humains. Quitte à couper la fourniture d’eau de leur locataire afin de montrer qui est le ‘’maître’’ des lieux, tels de ‘’petit-hommes’’ sans envergure.

Sachez, Messieurs les ‘’rats des champs’’ : Je ne me plierai pas, je ne me soumettrai jamais devant vos pires besaces en malversation, se foutant du Droit comme des devoirs affichés à potentiel sens positif de la nation française.

Ne serait-il pas utile d’indiquer les raisons de vos viles actions et ainsi arrêter vos néfastes manigances alimentées par le mensonge et les tricheries, notamment envers mes écrits vous mettant en porte-à-faux au regard d’autres communautés attachées à la liberté d’expressions, l’égalité, la fraternité comme à la justice sociale économique ?

Pour ma part : Rentrée 2022 : Nouveau lieu, Nouvelle histoire

https://wordpress.com/page/lamarante-des-artisans-francais.com/16037

PRESENTATION MICHEL ASTI

Après 40 ans dans la grande cité lyonnaise, à cheval sur deux fleuves, Michel Asti se retrouve en 2013, par les hasards du destin, en conditions de sérénité idéales pour engager cet exercice d’écriture. Fin 2021 il obtient sa retraite, après 8 ans au RSA, ce qui lui permet d’envisager l’avenir sous de meilleurs horizons, tout en continuant à pratiquer l’écriture, dans un nouveau lieu de résidence, après avoir publié, aux éditions du LYS BLEU :

• Au vent des émois – Mai 2021

• Au-delà des quarante malencontreuses – Nov 2021

• Entre Libertés & Attachements – Février 2022

En complément à sa retraite – comptabilisée à 129 trimestres au lieu de 167, (dont 33 au RSA)

LE JOURNAL D’UN RSA-YSTE SENIOR : http://mickael-montest.e-monsite.com/

Michel Asti reprend, à la rentrée 2022 d’autres activités de conseil et de technico-commercial.

Ce sont ici mes humeurs et opinions ;

Je les donne pour ce qui est de ma créance,

Et non pour ce qui est de croire.

Montaigne

Les croyances et les vies, comme les espoirs et…

Les mésaventures passent sous la meule du temps

[…]

Quel est le plus important : réussir ou trouver un sens à votre effort de réussir ?

Si l’enfer est un tunnel creusé par une colonie munie de pics d’incertitude, alors la raison est un bouquet d’attentions que l’on arrose de lucidité. La culture, les savoirs et la connaissance sont le sel de la vie. Les véritables amitiés et la réelle fraternité en sont le sucre.

Les yeux de l’homme ne réussissent à percevoir les choses que par la… connaissance de leur superficialité pourtant l’intelligence humaine a les ressources pour donner forme à leur essentialité.

La couleur de l’eau

Je sais que j’écris avec des mots oubliés

Une langue des moissons pleines

Où le temps n’est plus un danger

Les fruits sont mûris aux lumières du soleil

Gorgés des gouttes cristallines

Des messagers de la pluie.

Le temps travaille sous l’herbe tendre

Les ruisseaux s’adonnent à la terre

Épousent les crues des fleuves et rivières

Avant que leur ami chaleureux

Demande à l’eau de leur berceau

De reprendre un peu de hauteur

Afin que de la mer, elle revienne.

Je sais aussi que parfois,

Les mots sont trahis par des lèvres

Aux sons des peurs récalcitrantes

À l’humble sincérité de l’apparence

Pour qui peut se souvenir

De l’accent des affranchis(es)

Et de la couleur du verbe

Aux murmures de sa transparence.

À dessein mot dit

À la lumière de mes espoirs

À enlacer la nuit, pour le langage du jour

Aux vers de la langue vivante

Au silence de mes sentiments

À l’encre de tes jeux habiles

À reformuler tes rivières sans retour

À chauffer les cœurs aux feux de ta ferveur

Sur l’échiquier du monde,

Au jour né des incertitudes

Aux nuits des songes heureux

Un dessein surgi aux lumières de nos sens

Je crois que nous sommes en place

Le temps n’y prend plus de raccourcis… 

À fleur d’évidences

Rien n’est plus incertain que la conscience

La sagesse maîtresse par ses mots affiliés

Murmura aux oreilles de son estudiantin(e) :

« Nous nous laissons souvent séduire,

Et sans fondement sur la belle vision,

Comme tout à chacun et chacune,

D’une certitude nouvellement née,

Croyons fort aisément,

À ce que nous craignons des plus grands désastres

Et désirons du plus grand des plaisirs… »

Au vent des émois –parution mai 2021

DEMEURES EN SURSIS

Je vous vois, longues ombres étendues au couchant de l’existence, derniers solstices, je ne sais plus qui songent encore.

Je vous entends, tristes petites choses ridicules sur vos chaises de bréviaire, piètres acquis, je ne sais plus qui ment, encore.

Retenez-moi de compter ce qu’il reste des années, des sales besognes soumises au silence des vices.

Là où, souvent, naissent les mains de rancœur, crissements du vent d’hiver sur les boiseries gonflées de gel.

Voilà pourquoi je parle de vous, vieilles badernes, oublieux de vos rêves d’enfant, nulle clef, nulle serrure.

Nulle porte entrouverte au seuil des entendements, même sang-froid que des vipères lovées aux mesures de fiel.

De vous, de moi, qui est le plus désenchanté lorsque crépitent les cris de quelques bouches dévisageant vos deniers d’horion.

Nul sort, que de vivre loin de vous, ristournes en gageures de veules manigances, saisons sans oiseaux-fées.

D’une aile haute comme d’un œil vigilant, écoutez, vils ruraux sans livres sur l’étagère, les mots humiliés.

Entendez les dires irrités du jour, démons nuit, quand le passage d’un nuage obscurcit le scintillement de l’eau.

Sentez venir le chant, signes amicaux, à demi vers, ici, à la porte d’entrée où la mémoire ne se déguise pas en statut borgne.

Comme un feu élevé sur l’horizon des justes tendances, l’ordre des grandes floraisons entre les galets de la rivière sans retour.

Vivriez-vous, vos dernières années sous le joug d’un rite calqué aux tours d’ivoire, consanguinité, demeures en sursis.

Je vous plains, minables boucliers de cendres fourvoyant l’avenir des veilleuses, dans l’âtre des cheminées empoisonnées.

Je forme un vœu, éternel, que de ne jamais croire au gargarisme des promesses messianiques, en méthode d’usurpateurs.

Querelles de minables chapelles

Appartenances en reliques d’habitudes de vieux,

Refus de changer leur vocable en bouches de vieille,

Encaissement de loyers au prorata de vétustes milieux,

Solde en principal par manigances de porte-caisses.

J’irai bien voir du côté des alliés Cafards,

Empochés aux bourses de la Caf-et-tiers,

Responsabilité à rejeter sous les matelas blafards,

Besaces cachées aux registres des familles d’agréés.

À n’y point faire réparation de parterres et plafonds,

Sans correction, armées sans salut, mais avec piston,

Que vous soyez croyants(es) est votre petit problème,

Mon étude oisive est de définir plus grandes étagères.

Il y fallut assurément compères, depuis longtemps, placés,

Tant au niveau des rebuts intellectuels que des paravents,

Avancement de piètres carrières en gestion de vils arrangements,

Cela ne s’arrêta pas en ces instances administrées.

Injustice quant aux riens, ils n’ont qu’à subir les vices de l’aire,

Remontrances de vermisseaux, ils n’ont qu’à se taire,

Les agents publics ont-ils trop de besognes pour parfaire ?

Prétentieux de se croire à l’abri dans les ors départementaux,

Depuis des décennies dans le nævus des transactions communales,

À augmenter, avec ignorance, les palliatifs congénitaux,

En sursis dérivatifs d’avec messes en portage d’étables,

Les chiens galeux virent trop tard le hibou dans la bergerie,

Il avait déjà hululé aux abords des momies détestables,

Tension aux recoins des ermitages sans adages,

Il eut fallu le faire taire, même aux prix des rosseries.

Quitte à séquestrer quelques ordonnances assurantielles,

Outre le retard d’affiliation à émoluments d’acquis

Il fut intéressant, à les voir, collabos de campagne,

S’enfoncer lamentablement dans leurs menteries,

Rats des champs tant d’incompréhension analytique,

La confiance ne saurait exister sans égards pragmatiques,

Sale cabot de forfaitures oseras-tu encore faire le plaintif…

Crois-tu qu’Emmaüs soit au courant de tes apparatchiks ?

Comment ne pas se laisser aller à paroles irritées,

Quel état d’évidence pour se retenir de hurler,

D’éviter de vous parler comme à des chiens,

Tel à une meute de lamentables vauriens.

Ce n’est pas que je n’aime pas certains de mes congénères…

Mais comme pour les religions, les traîtres de Marais

Comme de traboules et les insincères, de leurs avances,

Je préfère m’en être éloigné et n’y plus souscrire.

J’ai pris bonne note…

Que ce soit dans la cité ou en milieu rural : le délire de mentir s’attrape comme la gale.

Alors espèce de cerbères véreux, avez-vous cette altérité d’oubli d’histoires passées ?

À chercher querelle au nom de votre vile chapelle.

Ou est-ce un appendice utile à faire chier les amnisties ?

Et ainsi à garder mainmise sur vos droits de selle…

Dans un népotisme délétère digne des pires besaces.

Vies – tests

Il est des pertes qui ne vous pèsent

Des accompagnements qui vous allègent

Des rencontres qui vous grandissent

Des regards qui vous troublent

Des lectures qui vous marquent

Des attentions qui vous obligent

Des manques que vous ne comblerez jamais.

Il est des rentrées qui ne vous alourdissent

Des sorties qui vous inquiètent

Des comptes qui vous affaiblissent

Des mesquineries qui vous blessent

Des nombres qui vous manquent

Des rendez-vous qui vous agacent

Des absences que vous accepterez toujours

Il est des causes qui ne vous perturbent

Des devises que vous supportez

Des raisons qui vous accommodent

Des peurs qui vous violentent

Des certitudes qui vous mènent

Des attachements qui vous oppressent

Des expressions que vous chercherez longtemps

L’art d’ignorer la justice

Rats des villes comme menteurs des champs auriez-vous appris ?

J’en serais aise à connaître tenant et aboutissants,

Malheureusement vous faites sourde oreille à mes alestis

Et depuis plusieurs années j’ai doutes quant au respect de ma condition.

Outre qu’il me fut tardivement advenu les lois de vos amis,

Il me semble avoir entrevu le clapotis de leur ramassis,

Ceux qui ne manquent aucune occasion à se délecter du gorget

Comme qui de celles arque boutées au doigt des courrais.

Il y fallut ce gargarisme pour jouir de l’illustre notoriété,

Image affichée par sordide visage léché aux administrés(es) ?

Régionalisme fourgué à l’allégorie de piteux républicains,

Telle régence d’un veau qui est bras croisés aux rets mesquins.

Huit années passées comme de rien auprès des chiens galeux,

Sobriété pour celles et ceux aux promiscuités des taudis,

Avidité pour celui qui a déjà plus qu’articles de parvis,

Rappel aux droits n’ébranle le shérif des Monts veules.

Mais ne tarder plus, gestionnaires en solde de ma retraite,

Car il se peut qu’au-delà des quarante malencontreuses, traitées,

J’y réussisse, encore, à vaquer aux fils des araignées de vestibule.

Et ainsi à libeller quelques titres aux ailes des libellules…

Je ne demandais rien de plus que de ce qui me revient de port,

C’est ma créance : je la tiens pour légitime,

Et j’écrirai sur les murs de vos indifférences… ;

Jusqu’au jour où la nuit m’emportera.

Entre libertés & Attachements – Paru en février 2022

Michel Asti est également présent sur Facebook et LinkedIn

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