J’ai été mort socialement

« Lorsque la société soi-disant évoluée inhibe trop tôt les rêves de sa jeunesse, et maintient trop longtemps une grande partie des générations précédentes dans le cauchemar des désillusions, elle ne saurait évoluer vers autres chemins que ceux du désespoir… De la rancœur… Et de l’indifférente violence… Psychologique… Où celle physique risque parfois malheureusement d’apparaître… »

Le propre de l’histoire et de la mémoire est que tout ce qui est de ce que la connaissance de l’histoire et de la psyché de la mémoire ne recommence point. On ne remplace pas nos décades.

L’ART D’IGNORER LA JUSTICE

Rats des villes comme menteurs des champs auriez-vous appris ?

J’en serais aise à connaître tenant et aboutissants,

Malheureusement vous faîtes sourde oreille à mes alestis

Et depuis plusieurs années j’ai doutes quant au respect de ma condition.

Outre qu’il me fut tardivement advenu les lois de vos amis,

Il me semble avoir entrevu le clapotis de leur ramassis,

Ceux qui ne manquent aucune occasion à se délecter du gorget

Comme qui de celles arque boutées au doigt des courrais.

Il y fallut ce gargarisme pour jouir de l’illustre notoriété,

Image affichée par sordide visage léché aux administrés(es) ?

Régionalisme fourgué à l’allégorie de piteux Républicains,

Telle Régence d’un Veau Qui-est bras croisés aux rets mesquins.

Huit années passées comme de rien auprès des chiens galeux,

Sobriété pour celles et ceux aux promiscuités des taudis,

Avidité pour celui qui a déjà plus qu’articles de parvis,

Rappel aux droits n’ébranle le shérif des Monts veules.

Mais ne tarder plus, gestionnaires en solde de ma retraite,

Car il se peut qu’au-delà des quarante malencontreuses, traitées,

J’y réussisse, encore, à vaquer aux fils des araignées de vestibule.

Et ainsi à libeller quelques titres aux ailes des libellules…

Je ne demandais rien de plus que de ce qui me revient de port,

C’est ma créance : je la tiens pour légitime,

Et j’écrirai sur les murs de vos indifférences… ;

Jusqu’au jour où la nuit m’emportera.

SALE HISTOIRE

Est-ce bien raisonnable de penser l’absolu abîme…

Affres de ce qui qui ne peut être qu’insoluble dîme,

Affaire d’entre les dieux et les hommes de démesure,

Instrumentalisation aux yeux des enfants de parjure.

Sale histoire commencée il y eut fort longtemps.

Est-il de jalouses persiennes d’y voir le fond cynique…

Impostures d’avec règles d’aberrations fixées aux paris,

Disputations figées aux pôles des conciles d’abjection,

Vos mimiques donnent la rage au réalisme d’oraisons.

Rance histoire instruite par des guides de parures.

Est-ce très utile d’y puiser plus que nécessaire…

Félicités d’une aventure sans aubes,

Ouverture aux destinées d’abécédaire,

L’interruption vaque aux drôlesses d’investiture,

Nature démise par l’innocuité des souillures.

Vagues histoires inoculées aux vestiges de statuts.

Est-ce d’avoir que de n’y point voir l’austère vacation,

Lieux sortis d’une danse sans accords d’engagés(es),

Comme si d’y ni pas penser suffisait à la traction,

Juges fabriqués aux bans des arbitraires en forfaiture gagée ?

Triste histoire défiscalisée des bancs de responsabilité.

Chasseurs des saisons d’ivoire, déjà entamées aux objets inertes,

Est-ce d’une cajole de proximité  ou d’une extrémité à s’y soumettre ?

Vous avez traversé votre existence d’avec pleutres rapières sans pointe.

Fixité de vos panégyriques comme d’une périodicité à invoquer les feux de dévotion.

Sale histoire que celle des hommes de petitesse à s’octroyer des droits non-humains,

Est-ce bien raisonnable d’arrêter sa propre vie à l’abjection du superflu, sans histoire…

Convoitise des émoluments de nature à les confondre,

Crimes d’anomie pour les plus à-mêmes de s’y fourvoyer.

Bad langage aux questions sans factions de présence.

« Ce sont les événements qui commandent aux hommes, et non les hommes aux événements » Hérodote, in « le mystère de la main rouge »  Henri Loevenbruck

Il ressort donc de tout cela que, quand nous nous efforçons à une chose, quand nous la voulons ou aspirons à elle, ou la désirons, ce n’est jamais parce que nous jugeons qu’elle est bonne ; mais, au contraire, si nous jugeons qu’une chose est bonne, c’est précisément parce que nous nous y efforçons, nous la voulons, ou aspirons à elle, ou la désirons. Spinoza – Ethique III.

Sans compréhension du réel et véritable sens des mots entre affliction et dénégation il ne saurait y avoir quelques potentielles formes d’équilibre entre les différentes communautés… mais qu’engrènements conflictuels, incessants, entre les différentes camarillas.

L’intelligence à deux sources, une assertion et une allégation

  • 1 – Intelligence du bien
  • 2 – Intelligence du mal
  • 3 – Assertion communautariste
  • 4 – Allégation universelle

L’homme est-il une curieuse composition : entre Orgueil, Egoïsme, Usure et Félonie… ? Sera-t-il en facultés et capacité de modifier ses comportements comme ses actions destructives, aux feux de la division. Il serait tout-à-fait louable à tout être-humain, comme dans toutes communautés, d’y trouver quelque honorabilité permettant de penser que l’exercice de certains passe-droits ne peut être l’apanage d’aucun individu ou coterie ; et cela peu importe la classe sociale-économique, culturelle et financière de chacun et chacune.

Le Journal d’un RSA-YSTE : http://mickael-montest.e-monsite.com/

Les envieux

Par-là, sots devant leurs écrans, l’œil hagard,

Par-ci, stupides, à gober toutes thèses complotasses,

Jamais n’ont objectivité en lots d’égards,

Préférences à sucer les sales langues, bavasses,

Taire les lieux borgnes où règne le clanisme fétide.

Par les plus cyniques bassesses, plus vils arrimages,

L’ennemi de la chose publique, en exécuter leur miel,

Ils ont d’avec leur dieu d’orgueil, comme Arimaze,

Baudruches rongées de rancœur et bouffies de fiel.

« Et vous croyez, fermement, que la pensée libre n’est ‘’rien’’, d’autres ; que celle d’entasser des imbécilités, temps de l’une sur l’autre que tant de réciprocités » – » Que les réflexions sociales-économiques dissidentes en retrait d’experts d’avec positions conformistes et refus d’engoncement d’avec clans tordus à l’individualisme ne seraient rien de plus qu’idées saugrenues ?…»

Ce raccourci, me semblerait, en quelques cas, doté de trop peu de rayonnement quant aux femmes et hommes prêts, en permanence, à affronter l’individualisme de circonstances comme les compléments affichés aux circonstances faîtes de distinctions en obédiences trop penchées vers la connivence en croyances de celui ou celle qui ne peut s’écarter de la servitude étalée en réserves de crânerie plaquée à l’orgueil de l’ignorance constitutive à l’édiction de ces mots sans attentions, tant de l’étonnement envers le malheur que les joies du partage des connaissances. Que la sociologie la plus récente rencontre quelques sagesses anciennes, cela serait une bonne nouvelle. Mais même cela ne peut démontrer que l’intelligence humaine et la modernité sont une folie. Qu’il existe dans le présent, un réel toujours plus fort, refusant de croire que rien d’autre n’est à connaitre, que plus rien n’est à aimer… ; est vrai.

Que le changement ne serait qu’une histoire sans défis dans un flot d’évènements, de rencontres et d’échanges aseptisés, apeurés par l’incertitude des croisements multiples et dépassements accentogènes, dans un monde d’asthénie psychologiques, de fourvoiements physiologiques et malentendus métaphysiques… ; est faux.  Mais que le monde, ainsi versé dans les commodités des zones de confort pressantes, semblerait d’une tristesse infinie pour qui préfère la danse à milles temps notée aux accords des désirs et souhaits sensibles scindées à jeux épars, où le verbe des amitiés et des amours serait teinté aux puissances de la verve des temps passés, dans un présent, riche des traits de lumière, réfléchissant à la couleur des feuilles mortes, tourbillonnant encore au sens de vigoureuses tourmentes… ; pour qui aime à flirter au vent des émois ; est une évidence humainement acceptable.

« Après lui avoir enseigné à douter, le philosophe lui apprendra aussi pourquoi il doit surmonter le doute en appliquant une méthode rationnelle et idéalement infaillible, une méthode décisive pour comprendre la vérité.

Ahhh ! Mais qu’est-ce que la vérité ? Demande, tout le monde en chœur, avec une pointe de doute dans la voix. 

En voilà une question de philosophe !

À vrai dire, la vérité est partout dans la vie quotidienne… » Michel Asti – Auteur Retraité

Le paradoxe culturel est la faillibilité de l’épreuve matérialiste.

On a beau aimé son pays : Le livre fut, est et restera une ouverture sur le monde par la compréhension de la linguistique humaniste.

L’espérance est une mauvaise blague rance. Soit on répare soit on devient fou. Quant à l’espoir il demande à voir…

La logique de ‘’qui n’est pas avec nous est contre nous’’ ou du ‘’tout ou rien’’ est nécessaire aux communautés religieuses et utile aux partis politiques. Si ce fondement peut être compréhensible pour toutes formes de pouvoir il est nuisible pour les sciences.

Le vrai n’a pas la notion du bien ou du mal, et pourtant il est nécessaire au rapport de vérité entre les individus. Il est le point de départ de cette vérité, et la confiance en est le point d’arrivée.

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1 réflexion sur « J’ai été mort socialement »

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