LE LIVRE EST UNE FENÊTRE SUR LE MONDE. (…)

Plusieurs fois sur l’ouvrage, […]-[…] y revenir… ; tu devras.

Présentation Michel Asti Auteur Retraité

Le charme discret de la bienséance est le pus bel hommage que l'on puisse envoyer à a nature même de la vie...

Ne pas croire que la vie est une opportune attendant chatoyant potron-minet serait faire insignifiance à son extraordinaire présence biophysique et une indifférence à sa réminiscence physiologique permanente. Cela rejoint le syllogisme consistant à croire que la différence est  trop souvent jugée par une sociologie philosophique exsangue d’épistémologie suffisante dénuée de sens envers les esprits libres. Ce petit exemple donne une idée de la difficulté à changer la vision ontologique conformiste ou réactionnaire, consistant à refuser la réalité qui se cache derrière le mur de l’indifférence. Y penser librement ne peut s’établir sans conditions élémentaires à disposer d’un refuge contre les voracités extérieures, nourriture terrestre   essentielle à ‘’corps’’ et accessibilité à pluridisciplinarité culturelle intelligible du discours entre les sciences et les arts, autorisant émancipation de ces mêmes esprits libres bienveillants, et peut-être autres attachés à soulagement d’un conformisme pesant délibérément sur une justice et une égalité de cloisonnements catégoriels…

Ce que je fis, tout au long des années suivantes à mon insertion dans le milieu social-économique de la grande cité, à partir du troisième trimestre 1975, n’était en fin de compte provisoire, qu’activité alimentaire filmée aux parfums insipides et goûts aseptisés, hors extraordinaires histoires personnelles que la vie m’avait apporté, et pour certaines véritablement attachantes. Mes différentes professionnalisations avaient utilitarisme à m’inscrire dans l’évidence de pouvoir subvenir à mes besoins nécessaires et ceux de ma famille. Après quelques folies douces et merveilleuses histoires, dans cette ville à cheval sur deux fleuves, notamment en la seconde partie de la décennie fermant le XXème siècle et celle ouvrant le XXIème, ce début d’année 2013 était en train sans que je ne le perçoive, de donner une nouvelle inclination au cours de mon histoire. Le temps devenait de plus en plus respectueux des limitations de vitesse du mien. Ce petit village, de la Loire, situé à 800 mètres d’altitude sera la tour de contrôle de ce chapitre affiché à mon existence en ce lieu, et, sans que je ne le sache encore, un extraordinaire poste d’observation de mon ancien idéal et peut-être une tour de vigie pour le futur. Je n’avais pour l’instant, qu’à me régler sur mes propres pensées et celles posées sur les feuilles de quelques livres laissés, plusieurs années, par autres contraintes et priorités, sur la table de chevet. Cet exercice, que j’aimais tout particulièrement m’autorisait en cette phénoménologie ; accompagnée par quelques esprits brillants rencontrés au gré de mes divagations sur le réseau virtuel, à remplir les cases vides de mes évanescences inabouties, et peut-être concevoir autres sensibilités épistémologiques, artistiques et littéraires… Puis, cette extraordinaire maîtresse, qu’est la vie, me proposa, en 2022, autre chemin…

Vînt le temps, par la route, vers les hauteurs de ce village du centre de la France : « c’était le début du mois de mai. » Je n’avais pas oublié ces neuf années passées, de même que le temps vécu dans la grande citée lyonnaise à cheval sur deux fleuves. J’ai toujours aimé recevoir de bonnes nouvelles, telles des étoiles au milieu des nuits trop obscures. Oh, j’en eus quelques-unes, fameuses. Cette nouvelle porte que me présentait cette fabuleuse maîtresse, la vie, était de bons augures. A tenter, auparavant, maintes folies douces, à me diriger vers des zones parsemées de gardiennes muettes ainsi que saugrenus malandrins, la petite ville tout en rondeurs étagées me rappelait quelques vas-et-viens oscillant aux lumières vagabondes de la cité entre canuts, fils de soyeux et loges de basses coures dont j’avais fait le tour des propriétés du jour et de la nuit. J’avais entamé, lors de cet automne 2013, une révision des méandres affichés à mes affections citadines, au rapport de celles, toutes aussi paradoxales, de la ruralité. Une dernière fois, je fis le tour de l’ancienne demeure et environs, proches. Ces lieux où j’avais effectué ma sollicitude envers la lecture et l’écriture, me paraissaient, maintenant, désuets et inutiles à la commutation avec la suite… de ma résonance.

Après 40 ans dans la grande cité lyonnaise, à cheval sur deux fleuves, Michel Asti se retrouve en 2013, par les hasards du destin, en conditions de sérénité idéales pour engager cet exercice d’écriture. Fin 2021 il obtient sa retraite, après 8 ans au RSA, ce qui lui permet d’envisager l’avenir sous de meilleurs horizons, tout en continuant à pratiquer l’écriture, dans un nouveau lieu de résidence.

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LE LIVRE EST UNE FENÊTRE SUR LE MONDE

Vous avez le choix : La laisser fermer derrière les persiennes ou alors l’ouvrir sur l’horizon…

Soit lire la suite ou bien l’ouvrir au format :

Mai 2021 – Au vent des émois

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Les croyances et les vies, comme les espoirs et…

Les mésaventures passent sous la meule du temps

Le barde, la poétesse, poètes et versificateurs écrivent leurs mots sur le mur de l’indifférence. À défaut d’utiliser un marteau et un burin, ils se contentent d’une craie. Les aiguilles de glace ne comblent pas les courbes de leurs horizons. Ils font feu de tout bois, les joutes textuelles, les confidences mesurées leur sont plaisantes…

Elles deviennent la teinte de leurs desseins. Le plus léger murmure au pas d’une langue intelligible sur les grandes plaines des amertumes écarquille leurs yeux.

Ils sondent la transparence du silence.

Ils, elles vous entendent sourire. Parfois sous le poids des récusations. Mais ces Idéols(es) et Attracteurs(es) refusent la fatalité usurpant les vocalises de vos désirs. En suspension d’incertitudes, ils savent que chaque clé forgée au souhait d’ouvrir une nouvelle galerie est une clarté tiraillée aux délices du chant entre la colombe et le faucon.

Ils n’échangent qu’à bon escient entre aurores et crépuscules.

Ils savent que vos silences marquent souvent un rêve trop lourd, une absence éclatée où l’œil des sentiments les plus clairs n’y perçoit plus que la mort du cygne, dans un vol de poussière criblant le miroir des évidences en contre-mesures des fleurs de liberté. Ils savent que l’inextinguible pensée attend toujours aux portes des songes, et le temps n’est plus l’ennemi.

Que n’est-il pas de chemin plus difficile que de changer sa position, aux sensations de ce qu’il nous fut mal imaginé, par une justice soumise aux seules intransigeances des lois pour qui n’aurait pas des sujets suffisamment attirants, afin qu’elles en abordassent les chemins et voix des inutilités désobligeantes ; versés à la liberté d’opinions prolixes…

Ce combat ne saurait s’accepter sans consentement au retour de nos incapacités à n’avoir réussi à nous destituer de la bienséance des veules parleurs de ramage, où les courtisanes n’y réussissent plus aucun vertige autre que celui de la primauté à éconduire les gardiens des attentions sensibles, aux faveurs d’étranges bourses. Bien que j’en eusse quelques aises en des temps inachevés, ce premier jour de l’an 2013, hors de cette cité, lyonnaise, à cheval sur deux fleuves, je vis quelques lueurs aux courbes des nouveaux horizons. Au cours de cette fin juillet, ayant pris mes quartiers en cette vieille demeure, j’y entrepris de rouvrir quelques livres laissés depuis longtemps sur la table de chevet, aux commissures d’autres contraintes et priorités ajustées à mon ancienne réalité.  Mais vous, mes anciens camarades, sylphides, elfes, et scribes du vent…

Où êtes-vous ?

Que faites-vous ?

Et comment allez-vous ?

Transigez-vous plus qu’avant ?

 Ou restez-vous toujours dans quelques accaparements désuets ?

Je vous saurais gré de ne pas alourdir mes songes.

Le crépuscule de mes murmures y suffit amplement…

En liste de vers désunis, cela ne prouve pas qu’imagination n’est que folies de saison. L’universalité du combat n’y joue qu’avec l’espièglerie des logatomes, dorée au vent des phonèmes virevoltant vers contrées à lemmes songeurs.

Sémantique en lice n’est pas qu’affaire en pays d’Alice ; de même qu’en sonate de contre-étiquettes d’une Académie rabougrie par les flagellations de leurs tristes chaires affectées aux vocalises de l’ancienne garde des pairs tremblant devant la nature des pourfendeurs d’épithètes. Comme si lemmings, en cascade, sautant d’une falaise n’était que folie saugrenue, et, en cette sémiotique textuelle, à laisser croire qu’ils n’étaient que fluctuation de petits rongeurs un rien sots et sans envergure…

À seulement border Antigone ne saurait faire, d’Antipolis, que meurtrissures en fadaises de Régence, absorbée par l’inoculation du venin des néfastes flagorneurs et tristes sires, au pinacle de l’austère désillusion des marqueurs de soumission économiques, envers une Sophia en déni de connaissances….

Il nous était difficile d’entendre les vocalises de l’acceptable. Nous pouvions percevoir les coups de boutoir dans l’hystérésis généralisée.

Ces harangues, en souffle perfide, couvraient la mémoire des véritables bienséances, au fil des membres innocents. Nous devinions que la sincérité des mots de transition ne serait pas en complaisance suffisante pour noyer le verbiage en rade de lèvres dissidentes, pourtant, parfois saisissantes. Sous le flot des regards en coin, la pauvre ignorance, en peurs perdues, flagornait en rond de facilités aux abords des portes dérobées. La lame de fond en intransigeance modale, sous affinité de songes équivoques, enflait fièrement à l’ombre des chimères clandestines et par trop cauchemardesques.

La déréliction, aux vents malencontreux, en insécurité de mains plus légères, sous couvert de visages aux lumières éteintes, prit son intendance dans les quartiers fixés par les fantômes de la confiance. En béatitude sans intrigue, le démon de l’inquisition gonflait ses troupes, en fake news de fausses gardes. À ton rictus, diabolique, figé aux voix de mornes pénitences, vociférâtes en plan aux goûts d’amertume, nous préférâmes couper la ronce cachant les fragrances de la vie, quitte à entendre craquer nos os, sous la peau de nos chairs vivantes…

Quand nous marchions sous la pluie, nous entendions son cliquetis, et nous comprenions qu’elle voulait nous murmurer : « Ne marchez pas si vite, je suis partout ! » Quel est le plus important : réussir ou trouver un sens à votre effort de réussir ?

Si l’enfer est un tunnel creusé par une colonie munie de pics d’incertitude, alors la raison est un bouquet d’attentions que l’on arrose de lucidité. La culture, les savoirs et la connaissance sont le sel de la vie. Les véritables amitiés et la réelle fraternité en sont le sucre.

Les yeux de l’homme ne réussissent à percevoir les choses que par la… connaissance de leur superficialité pourtant l’intelligence humaine a les ressources pour donner forme à leur essentialité.

La couleur de l’eau

Je sais que j’écris avec des mots oubliés

Une langue des moissons pleines

Où le temps n’est plus un danger

Les fruits sont mûris aux lumières du soleil

Gorgés des gouttes cristallines

Des messagers de la pluie.

Le temps travaille sous l’herbe tendre

Les ruisseaux s’adonnent à la terre

Épousent les crues des fleuves et rivières

Avant que leur ami chaleureux

Demande à l’eau de leur berceau

De reprendre un peu de hauteur

Afin que de la mer, elle revienne.

Je sais aussi que parfois,

Les mots sont trahis par des lèvres

Aux sons des peurs récalcitrantes

À l’humble sincérité de l’apparence

Pour qui peut se souvenir

De l’accent des affranchis(es)

Et de la couleur du verbe

Aux murmures de sa transparence. 

À fleur d’évidences

Rien n’est plus incertain que la conscience

La sagesse maîtresse par ses mots affiliés

Murmura aux oreilles de son estudiantin(e) :

« Nous nous laissons souvent séduire,

Et sans fondement sur la belle vision,

Comme tout à chacun et chacune,

D’une certitude nouvellement née,

Croyons fort aisément,

À ce que nous craignons des plus grands désastres

Et désirons du plus grand des plaisirs… »

[…]

Chute n’est pas un échec. L’échec est de rester là où on est tombé.

La confiance c’est lorsqu’elle est réciproque qu’elle fonctionne

Novembre 2021 – Au-delà des quarante malencontreuses
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La connaissance ; c’est de l’expérience. Le reste n’est, majoritairement, que banalités médiatiques, en défilement continu, sans réels fondements humanistes ni quelconques meilleurs sens analytiques envers une véritable justice sociale économique. Au pays des Lumières, est-ce d’une logique législative positive au rapport d’un système de bien(s) et services attachés aux Droits de l’homme, comme de la Liberté, l’Égalité et la Fraternité, apposées aux frontons des bâtiments publics, ainsi de ceux des Mairies et du principe de traitements égalitaires des territoires ? La Ve République est-elle devenue une Régence en Gouvernances de Privilégiés d’avec Ordres pas très clairs… ?

Essayez de vivre avec moins de 500 € mensuel pendant huit ans…, et vous comprendrez, peut-être que sans minimum vital, digne d’une existence honorable, les horizons en liberté n’ont plus aucun sens existentiel, hormis, peut-être, l’un des moins hagards en celui de résister à la colère, par l’écriture, envers un système chaotique, individualiste et délétère… Voire pire.

[…]-[…] Il arrêta sa réflexion, éteignit sa cigarette et repartit en direction de Bourgoin, avec au fond de lui, cette joie de retrouver Margaret, tout en ayant l’impression d’être encore soumis à certaines incertitudes, lui laissant croire qu’une partie de lui était encore présente dans une autre antichambre de « l’attachement », alors que l’autre « lui » se rapprochait à nouveau de la liberté de croire, d’aimer et de partir vers autres sensibilités, émotions et sentiments… Potentiellement proches de cette jeune femme avec laquelle une nouvelle histoire commençait…

L’alternance du jour et de la nuit, des saisons, des erreurs et des fruits, et toutes les autres choses qui viennent à notre rencontre périodiquement afin que nous puissions et devions en jouir, voilà les véritables ressorts de la vie terrestre. Goethe

C’est l’être humain qui observe, qui développe, qui imagine, interprète et partage le fond de ce qu’il peut y exister de commun d’avec sa position, son statut, son discernement envers les possibilités, potentialités et facultés d’analyse qu’il réussit à examiner dans le développement d’une union de sens, d’accords et de liens à ce qu’elle puisse y être de l’entendement d’une désunion du reste de son existence particulière en suite d’une démonstration logique actée sur l’obligeance à n’y point s’y méprendre des impressions vagues quant à ses intérêts faussement intéressés par un sujet dont l’objet commun n’y trouverait d’une provision de restriction affichée par une direction en attentions reléguées loin de la bienséance entre attachement présomptueux et liberté circonstancielle qui n’aurait de bienveillance que celle d’une tromperie envers une vérité dénuée de tout principe refusant de l’affirmer sans mesure d’une quelconque recherche de preuves ; dont nous ne sommes rigoureusement sûrs de rien quant au désir à ne plus vouloir s’attacher inopinément à un sentiment sans vraisemblances d’une connectivité en conduite du respect de la différence de modalités envers ses congénères de mêmes aptitudes à ne plus vouloir de l’imposture que celle de s’éloigner du soupçon d’imbécillité peu embarrassé par des codes admis par un conformisme placé sous le signe d’une conspiration obstinée à suivre les chemins déjà battus par le prix des inactions inaliénables d’avec les sentiers de traverses comme si l’homme sans chaînes apparentes devrait se satisfaire tant de la suspicion démagogique en liberté d’expressions que de l’amertume actée par une justice de persécution pour qui n’aurait pas compris les compromissions d’entre les hommes, comme de celles entre femmes et hommes, et réciproquement…

Dans la glorification du « travail », dans les infatigables discours sur la « bénédiction du travail », je vois la même arrière-pensée que dans les louanges des actes impersonnels et conformes à l’intérêt général : la crainte de tout ce qui est individuel. On se rend, maintenant très bien compte, à l’aspect du travail – c.-à-d. de ce dur labeur du matin au soir – que c’est la meilleure police, qu’elle tient chacun en laisse et qu’elle s’entend vigoureusement à entraver le développement de la raison, des désirs, du goût de l’indépendance. Car le travail use la force nerveuse dans des proportions extraordinaires, et à la haine, il place toujours devant les yeux un but minime et accorde des satisfactions faciles et régulières. Ainsi une société où l’on travaille sans cesse durement, jouira d’une plus grande sécurité : et c’est la sécurité que l’on adore maintenant comme divinité suprême. F. Nietzsche

Chapitre 3

Septembre 1975…

Il était devenu cet adolescent de 16 ans, et allait, cette année-là, entrer dans le monde du travail, où la première porte socioprofessionnelle qui s’ouvrait devant lui était celle de la « Belle Cordière », confiserie-chocolaterie située dans un quartier de Villeurbanne, non loin de l’endroit où il habitait, avec sa mère et son frère. Il était sorti du cycle de l’éducation nationale au mois de juin de cette même année, avec en poche, uniquement ce BEPC, acquis en 1974, où après cette dernière période scolaire en classe de seconde, il apprit par courrier la conclusion émise par le cercle des professeurs, lui signifiant qu’il était venu en « touriste », au Lycée Frédéric Faÿs, et il lui fallait envisager une autre voie permettant de possibles meilleurs résultats dans et par un autre apprentissage professionnel. Mais, ces acteurs et actrices œuvrant dans le milieu de la retransmission des savoir-faire technologiques ne savaient pas que cette école de mécanique générale n’était pas celle que souhaitait cet étudiant et surtout il n’était pas intéressé par cette future activité professionnelle. Il eut préféré effectuer ce cycle secondaire dans le cadre d’un BTS en électronique. Et de plus, en décompte de ses notes relativement bonnes en mathématiques, au cours des années précédentes, le transmetteur du savoir logique avait, lui semblait-il, édicté en début d’année quelques propos, plus proches de l’invective liée au fait que cet adolescent venait d’une école privée, et avait intégré cette année-là ce lycée public.

Cette époque était, dans quelques esprits dénués de philosophie-réalité, de culture universelle, controverse mémorielle entre une laïcité sans épithète ou art de l’épistémologie défaillant, peut-être encore liée au dogme des connaissances sectaires et du savoir élitiste protégé des rupteurs de conscience avenante ?

Il eût été plus louable d’essayer de comprendre le cursus rationnel au rapport de la vie de cet étudiant, et celle de son enfance. Mais, ce n’était pas la particularité de ce professeur enseignant le langage cartésien, la trigonométrie, les théories d’Euclide et de Newton, à pouvoir faire quelques investigations sur ce sujet plus philosophique, et psychologique, envers cet élève, qui à cette époque était déjà atteint d’allergies aux mauvaises raisons, injustes causes, ou défauts d’analyse avec pour résultat, à ce que sa moyenne dans cette matière à formalisme numérique oscille autour de 2/20, alors que l’année précédente, elle se positionnait généralement, toujours proche de 14. Ce statut de « touriste étudiant » émis envers ce jeune homme déboussolé par l’inattention atavique et mauvaises intendances fut établi formellement en cette journée de juin 1975. Il se dirigeait donc, ce jour d’octobre 1975 à 5 h 30, vers ce lieu, où il allait, jusqu’au mois d’avril 1979, apprendre les subtilités du chocolat et la réalisation de quelques autres confiseries et sucreries, auxquelles il ne connaissait rien quant à leurs fabrications. Il ne considérait pas cela comme un handicap.

Il était depuis longtemps suffisamment curieux, avait les capacités d’apprentissage nécessaires et était motivé par son irrémédiable désir d’acquérir une certaine forme d’indépendance, qui ne saurait exister, selon lui, que proche d’un emploi rémunéré à sa juste valeur professionnelle… Comme beaucoup de celles et ceux de sa génération, où déjà à cette époque, la meilleure clé d’accès était proche de l’éducation et des apprentissages, avec l’apparition notable, au début des années 1980, du spectre de l’infernale incompréhension envers une véritable sociale-économie équitable, doublée d’une certaine forme de pertes de valeurs accentuées par des doutes sur la réelle et possible confiance intergénérationnelle, dont le véritable commencement fût les évènements de Mai 1968… Invectivés par des contraintes jugées inadmissibles par la génération révoltée contre le manque notoire de libertés, où dans cette cacophonie, j’étais encore trop jeune pour réussir à tout comprendre de cette rébellion contre l’ordre établi, et peut-être formes de népotisme, insolubles. Les années suivantes, j’allais souvent entrevoir et partiellement comprendre le fondement de cet état de déliquescence, alimenté par le narcissisme, la possession, l’égoïsme ou soudoyé par la cupidité, accompagnés(es) par le désir névrotique de certains de mes congénères dans l’accumulation des biens matériels au détriment du bien-être général et surtout le déni de cette belle faculté attachée au collectivisme et à [l’Art des Gens]…

Avec pour vecteur « novateur » à partir de la fin des années 1970, celui de l’avènement de l’outil informatique, permettant de créer de nouvelles histoires, grâce aux langages algorithmiques, où les mathématiques en autorisent la création des bases de données et autres compositions sujettes à confinements corporatistes dont le pire est d’avoir oublié dans cette histoire à tendance « déshumanisante », la pensée profonde de la propre existence ontologique singulière de l’être humain… Et pour paradoxe entre le langage informatique, et celui utile aux communications philosophiques et échanges psychologiques ; biophysiques et physiologiques entre les « vivants », à ce que le premier ne soit qu’en rares compositions axé sur les sonorités de la poésie, du romantisme et de la bienveillance… Sauf, en quelques cas d’imagination linguistique lorsque le désir devient celui de vouloir s’approprier la chose, l’objet ou se rapprocher du sujet… Où le mammifère-humanoïde réussit parfois à déployer quelques consonances fumeuses…Mais souvent l’idée du propos est paradoxalement celle de l’amphitryon allergique au verbiage, non reconnu du compositeur, s’en trouvant par là même hébéter par cette éloquence désaccordée inclassable, et de par l’incompréhensible sémantique, complètement atterrer. Ou subjuguer ; voire plus… Ou moins… Intéresser… ?

Mais cela n’était pas, non plus, souhait d’analyse consciente à ce moment de ma vie, car je n’avais pas encore envisagé mon existence dans ma zone de confort, comme un grand livre, constitué de chapitres, avec cette particularité, qu’il était souhaitable pour soi-même, afin de passer au chapitre suivant, permettant de continuer cette aventure extraordinaire, d’en comprendre les leçons présentées dans les chapitres précédents… Je n’étais pas encore apte à entrevoir, qu’il fallait parfois se retrouver dans des situations quelque peu inhabituelles, afin d’émettre les plausibles causes liées au mauvais choix, ou autres intendances éloignées des meilleures devises et solubles statuts communautaires, voire compléments humanistes, mais assurément proches de l’attention et de la potentielle compréhension entre les accueillantes et avenants, et réciproquement…

Ma mère avait certainement essayé du mieux possible de faire le nécessaire jusqu’à mon départ du cercle familial, pour que je ne ressente pas les néfastes états sensibles et émotionnels, induits par la différence de ce qui nous a été inculqué par ceux et celles d’avant, en tant que construction d’une impossible conscience collective respectueuse de la libre expression naturelle du vivant et le libre arbitre émis par la pensée cognitive, afin que j’eusse égard à ne pas faire trop tôt un déni d’espoir envers la belle vie et le bon temps, permettant d’avoir toujours l’envie et l’énergie nécessaire et suffisante pour extirper mon corps de ces situations parfois extrêmes assujetties à ces extraordinaires élixirs de jouvence que sont le désir, l’espoir ; le souhait, l’attention et l’utile curiosité dont leurs fabrications peuvent parfois s’apparenter à celles d’un trop lent, mais également à un subtil et doux contre poison… Avec cette difficile adéquation, proche de l’incapacité à trouver tous les liens autorisant la belle alchimie de l’attachement assurément proche de ce paradoxe féminin-masculin, et certainement situé entre la liberté des pensées et l’expression culturelle des corps, hors tricheries, mensonges et prosélytismes actés pour et avec de mauvaises convictions…

En conséquence, par cette vision encore quelque peu irréelle à cette époque, et avec tous ces savoirs transmis par celles et ceux des générations d’avant et les connaissances utiles que m’avait montré la « Vie » ; j’avais acquis une potentielle belle forme d’optimisme quant à mon avenir, et une certaine confiance, peut-être encore trop naïve, envers celles et ceux que j’allais assurément rencontrer et encore peu connu (es), mais pour le moment, pas intrinsèquement défini comme très différent des bonnes considérations pour les personnes proches de moi… Car en ces temps-là, je n’étais pas encore atteint du moment de solitude autorisant possibles compréhensions sociologiques, entre attachement et liberté…

Plus tard quelques formes d’incompréhension envers certains membres de ma communauté lui donnera silhouette, dans l’espace économico-culturel, trop souvent asséné au délit d’initié envers la liberté de croire que le déterminisme collectiviste conciliant, soumis à l’expression identitaire ne serait qu’égocentrisme en ou hors de l’espace grégaire, et par conséquent inopérant à la nécessité de rapprochement entre le corps et l’esprit… Ce qui est d’une totale ineptie, car les pensées ne sont pas soumises au temps ni à l’espace… Mais justes à s’apprécier dans la sphère des covalences bienveillantes et bien pensantes accompagnées par la dialectique suffisante à retransmettre quelques belles intelligences de cœur réceptionnées proches des cercles des poètes, romantiques et humanistes. Avec pour singularité, en celle que la curiosité envers la sémiologie didactique des imprésarios de la dramaturgie communautaire est une triste farce dopée à l’inculture poétique, philosophique, économique, sociologique et romantique des mauvais clowns de la starisation vidéolistique.

La révolution industrielle provoqua une révolution dans les conditions de vie qui devait amener un bouleversement de la pensée philosophique, économique, politique, sociale, et plus tard, déontologique et humaniste. La philosophie du XIXe siècle se divise en des directions si différentes qu’elles ne se laissent pas ramener à un seul et unique concept. Elle comprend la philosophie romantique, l’Idéalisme allemand, le positivisme, la pensée socialiste et matérialiste de Marx, Feuerbach ou Proudhon, le pragmatisme ainsi que nombre de penseurs et théoriciens difficiles à classer tels Schopenhauer, Nietzsche et Kierkegaard ou encore plus tard Chestov. Une partie de la philosophie et surtout de la philosophie allemande se comprend comme un dialogue critique mais aussi constructif avec la pensée kantienne : ce fut le cas de l’Idéalisme allemand, de Schopenhauer et de Nietzsche. Le but avoué étant de reprendre ce qui semblait le plus intéressant dans la philosophie de Kant et de la débarrasser de ce qui semblait être des restes d’une métaphysique dépassée.

[…]-[…] Le début du XXe siècle marque également le début de la psychanalyse, fondée par Freud, qui apporte une conception nouvelle de l’homme, contredisant la représentation traditionnelle de la conscience humaine : la psychanalyse fournit en effet un modèle théorique du psychisme humain impliquant la domination de l’inconscient sur la conscience, ainsi qu’une méthode d’investigation de ce dernier. Freud dit lui-même de sa discipline qu’elle constitue la troisième blessure narcissique de l’humanité. Même si Freud était un médecin neurologue, et non un philosophe, les conséquences philosophiques de sa doctrine (notamment sur la question de la liberté et de la responsabilité, et sur la place des pulsions et de la sexualité dans les conduites humaines) sont d’une telle ampleur que la plupart des philosophes du XXe siècle se sont intéressés à ses idées, pour les critiquer ou pour s’en inspirer (comme, en France, Alain, Sartre, Deleuze et Derrida). Sous l’influence des travaux du philosophe allemand Martin Heidegger, s’est développé dans la seconde partie du XXe siècle, surtout en France, la philosophie poststructuraliste et la déconstruction qui reposent sur la remise en cause des concepts classiques de la métaphysique occidentale tels ceux de « sujet », « objet », de « sens », de « raison », et de « conscience », mais encore sur un dépassement des conceptualités dans la première moitié du XXe, psychanalytiques, phénoménologiques, linguistiques, etc.

Les principaux représentants de cet « anti-courant » de pensée sont Michel Foucault, Gilles Deleuze, Félix Guattari, et Jacques Derrida. Si l’unité de ces pensées pose problème, par leur forme même, qui les empêche « de faire école », les Américains les regardent comme un courant français original auquel ils ont donné le nom de French Theory, et les regroupent plus globalement dans la philosophie postmoderne. La philosophie politique du XXe siècle, quant à elle, se caractérise d’une part par l’intérêt qu’elle porte aux phénomènes totalitaires (Voegelin, Arendt, Schmitt, Aron), et d’autre part par l’examen et la discussion des théories du contrat social développées au XVIIIe siècle par Rousseau, puis la théorie de la justice, notamment avec Rawls (1971) abondamment commentée. L’idée d’absurde est par ailleurs développée par Albert Camus au travers de plusieurs ouvrages dont un essai philosophique : Le mythe de Sisyphe ; cette pensée atypique dans la philosophie pose la question du suicide comme question fondamentale avant toute autre et, en écartant cette éventualité, préconise la révolte comme alternative.

L’essence même de l’existence fait la réalité de chaque vie. Elle ne précède pas l’essence, ni ne la suit – elle lui donne un sens – elle est la seule vérité, toujours changeante, toujours singulière, parfois imprévisible, peut-être imparfaite, mais toujours d’instant en instant à préserver.

Quant au devenir de notre propre vie, est-il suffisamment incertain pour ne regarder que notre nombril, ou trop népotique pour croire que la seule évidence serait d’afficher notre créance sur les tabloïdes des mini-stars… ; en déni de nos propres incohérences et paradoxes.

Toutes choses organiques entrent, tôt ou tard, en putréfaction. Le temps est le gardien de toutes les actions vivantes. Cela est-il, toutefois, suffisant pour infliger la lente usure des hautes classes fascinantes, à toutes les ignorances des petites et moyennes ?

Est-il louable de pérenniser le déni d’attentions au profit d’attachements particuliers ?

Entre indifférence de notation et attachement de triage, n’existe-t-il rien d’autre que compositions liberticides ?

L’homme « moderne » est-il suffisamment stupide pour être devenu le soumissionnaire d’une imagination encadrée par une sémiologie, de faux contes, aboutée à lobbying de mauvaises factures ?

Avril 2022 – Entre Libertés & Attachements

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Derrière l’incantation

Qu’avez-vous gardé, sous vos mains proscrites de l’inaccessible objet du désir, derrière vos paupières fermées devant les tragiques besognes de celles et ceux qui voulurent quelques bienséances, que je ne puisse imaginer des chemins de souvenir ; où aujourd’hui, à l’automne de mes sentiments s’étiolent le bruissement des feuilles de liaisons ?

Ni les présences qui nous sont connues ni derrière les paravents de babioles, n’y parurent l’ordre des idées humanistes comme celui des choses de la vie de l’homme.

Ni même la connaissance parfaite de la Terre, de ses biosystèmes et écosystèmes comme de la grave mention cognitive qui s’en tient de celles et ceux voués à une personnification en déification de la somme des inconstances incantatoires n’y pouvait, peut et pourrait sauver la justice de la terreur intellectuelle de la prédation des voraces refusant les lois de la physique de la matière comme les règles de la conservation du mouvement en limites positive et négative de l’homme quant à l’hypertrophie en possession des objets comme des sujets dans notre monde fini.

Il n’est point de pire remède que de laisser croire fermement qu’un seul réussirait à réunifier ce qu’il reste des sciences humaines à reprendre l’œuvre au point où la nature l’eut réalisée d’avant le résultat des espaces artificialisés par la productivité des insatiables. C’est toujours en atrophiant les pôles de leur substance en flux vitale au profit d’un autre qui font les êtres incomplets d’avec une sujétion psychologique envers fonctions honteuses des armes législatives comme celles d’une communication invectivée aux seuls moyens sans but véritable, hormis les fonctions d’accaparement impérieux.

Sans doute le sujet sachant et pensant sera pour longs temps, encore, limité mais le pouvoir illimité, et par le contrecoup du savoir acquis par l’humanité ayant amené la croyance à une « race » supérieure qui dans cette création anachronique aurait, seule elle, le droit de gouverner les sensibilités singulières de l’être humain.

En toutes relations il demeure et demeurera les mots de liaison.

 

Est île de besoin…

Maintes fois j’y ai pensé, aux lieux sans déguisements

Où l’esquisse arrive à se poser près des embarras d’arborescence,

Là, proche des perceptions poussées au vent des, futures, connivences…

Non, pas pour croire à nos indisponibilités d’apparences,

Inventivité sous les regards croisés des possibles rapprochements,

Juste à ne plus, toujours plus, s’éloigner des passagères du temps…

Abus des parures de certitudes comme une liesse de solitude,

J’y crus pouvoir pointer les failles entrecroisées de multitude,

Mais il se peut que mon île de besoin fût, ce jour-là, satisfaite.

L’obscur ennemi qui nous attaque, au cœur des fractures, le sixième sens

Aurait-il fui le sursaut des âges sans aventures, en cache des retournements ?

Non ! Même si la vie est d’égards, elle est aussi une presqu’île d’attachements.

Chute n’est pas un échec.

L’échec c’est de rester là où on est tombé.

Entre libertés et attachements : l’attention est toujours première.

Dévoyer la vérité c’est croire qu’aimer suffit à effacer, alors que mal aisé, souvent, accentue le mal être – comme une obligeance – et n’est pas, toujours, justice.

Entre attachements et observations ; la confiance est une AOC qui ne saurait être, omise.

Est-ce ou fut-il temps… de connaître le TITRE avant de commencer à écrire sur le SUJET ? Sachant que les peurs, l’inconscience ou les certitudes individuelles, quant à ces choses de la vie n’ont et ne sauveront jamais personne. Mais sait-on que taire toutes relations en échange de savoirs quant à la réalité d’un présent interactif ne saurait, en aucune orthodoxie – us & coutumes – engendrer imaginaire attractif autorisant étude du véritable sens d’une curiosité utile à penser le libre arbitre comme une dissertation entre liberté d’être et accords en attachement d’une historiographie bordée au courant d’un potentiel futur respectueux du temps des actions concertées, voire attentionnées…

A Venir ; peut-être… en 2024 – D’heurts en demeures – À tous nos maux.


Évidences – Aucun prérequis n’est nécessaire si ce n’est la curiosité et le désir d’aller au-delà des évidences.

« La dignité, étant supérieure à tout prix, échappe par définition au calcul économique. À ce premier inconvénient, elle en ajoute un second : en tant qu’impératif catégorique, elle constitue un devoir, et pas seulement un droit individuel. »  On bâtit sur les véritables et réelles valeurs humanistes. Le temps ne s’achète pas.

J’ai chuté, été trahi, fait de mauvais choix, manqué de discernement, voire été crédule, été confronté à des gredins, nihilistes, de tous bords – tant réels que virtuels – mais je ne me suis jamais tourné vers les extrémismes, qu’ils soient populistes, communautaristes ou conservateurs radicaux, ainsi qu’idéologies nationalistes paroxystiques, amenant trop souvent rancœur puis violences, entre les différentes congrégations et familles.

Je ne suis pas fâché que tu m’aies menti. Je suis fâché qu’à partir de maintenant je ne puisse plus te croire. Nietzche

L’expérience, ce n’est pas ce qui arrive à quelqu’un, c’est ce que ce quelqu’un fait avec ce qui lui arrive Aldous Huxley

« L’addition et la retransmission des connaissances, expériences et compétences accrédite les valeurs de justice sociale économique comme celles attachées à la liberté, l’égalité et la fraternité propres à l’évolution positive de chaque système à réseaux humanisant »

[…]-[…]

Les couleurs du temps 

Sur les façades de nos existences, le soir, la sérénité signe une présence. Cette buée de cendres, de givre et de rosée. Les jeux épars peignent son armure. Tout a repris sa place, les paysages, l’eau et la terre. L’aurore comme une empreinte, redonne le sourire sur les lèvres.

Personne ne te comprendra sauf, peut-être, celles et ceux ayant, pendant quelque période, beaucoup pleuré et ri. J’ai été ‘’mort socialement’’ pendant neuf ans, sauf aux yeux de mes trois filles, quelques autres, et cette extraordinaire maîtresse qu’est la vie.

‘’La seule façon de traiter avec un monde non-libre est de devenir si absolument libre que votre existence même est un acte de rébellion’’. Albert Camus

Ce soir-là j’avais veillé tard, les heures précédentes avaient eu une langueur inhabituelle, comme si les brumes matinales refusaient de laisser le passage à d’autres visages plus parlants. Cette après-midi-là j’avais perçu la pâleur froide des souvenirs crispant mes doigts autour de la plume.

En quoi et pourquoi croire à une protection où la dignité et le respect, de toute existence organique, en sont absents ? Avec pour singularité, en ce Monde de déraisons, faussetés, tricheries et inconscience, en celle de croire que le monothéisme de l’inorganique serait une défense interindividuelle dans celui Naturel du Vivant ?

Malheureusement, je ne pense pas qu’il suffirait d’une étude analytique, intercommunautaire sensible, d’autres conditions pour que l’être-humain puisse trouver quelque équilibre en son propre statut – matériel et ontologique – pour ne plus invoquer une réflexion suffisamment éloignée de ce qu’il croit du sens de l’élévation du discours, corporatiste voire sectaire, fermé à la pluridisciplinarité, de l’homme. Toute parole ou style anticonformisme est, toujours long, à émerger comme à faire sens à potentielles formes d’équilibre.

Les ruraux et les citadins ne se comprennent plus.

[…]-[…]

Rats des villes et rats des champs, ne serait-il pas utile d’arrêter vos néfastes manigances alimentées par le mensonge et les tricheries, notamment en, par et avec tout ce qui peut résulter de cette partie – cultu®elle – népotique délétère, tant envers le monde végétal que celui organique, comme il pourrait en être d’un relatif apaisement.

Le Rat de ville et le Rat des champs est la neuvième fable du livre I de Jean de La Fontaine situé dans le premier recueil des Fables de La Fontaine, dédié au dauphin, fils de Louis XIV et édité pour la première fois en 1668.

Autrefois le rat de ville
Invita le rat des champs
D’une façon fort civile
À des reliefs d’ortolans.

Sur un tapis de Turquie
Le couvert se trouva mis.
Je laisse à penser la vie
Que firent ces deux amis.

Le régal fut fort honnête
Rien ne manquait au festin
Mais quelqu’un troubla la fête
Pendant qu’ils étaient en train.

À la porte de la salle
Ils entendirent du bruit
Le rat de ville détale…
Son camarade le suit.

Le bruit cesse, on se retire
Rats en campagne aussitôt
Et le citadin de dire :
– ‘’Achevons tout notre rôt.’’

C’est assez, dit le rustique
Demain vous viendrez chez moi.


Ce n’est pas que je me pique
De tous vos festins de roi ;

Mais rien ne vient m’interrompre.

Je mange tout à loisir.
Adieu donc ; fi du plaisir
Que la crainte peut corrompre. »

Jean de la Fontaine

La contradiction entre l’homme et le citoyen fait la misère humaine. Jean-Jacques Rousseau.

Et si un jour, un film ou un livre, a ou avait-eu le prix des ‘’Pygmées’’, il faut le dire. Et au moins il y aurait possibilités à ce que quelques ‘’Sots et Ignorants’’, en déni de diversité culturelle, viennent le voir.

Le terme apparaît dans l’Iliade d’Homère. Le passage aurait fait allusion à une énigmatique population d’une taille excessivement réduite entretenant une lutte perpétuelle pour sa survie contre les nuées migratoires des grues.

Les sites de reproduction de ces oiseaux étant situés très loin en Afrique équatoriale, la difficulté de la connaissance d’une peuplade aussi éloignée a toujours constitué un important problème pour les historiens.

Toute connaissance « commence avec l’expérience » et provient de l’application des lois de l’entendement formalisé aux données de l’intuition. Elle ne peut donc trouver place que « dans le champ de l’expérience possible » et « les lois de la nature matérielle sont les seules que nous puissions exactement connaître et déterminer ». En outre la science doit s’appliquer à élaborer l’élément représentatif et se limite aux phénomènes, aux apparences, qu’elle explique en les rattachant les uns aux autres dans une série indéfiniment extensible, suivant la loi de la causalité, sans jamais s’arrêter à un terme d’initiative subjective.

La volonté d’en faire recherche et analyse personnelle échangée dans une potentielle étude fraternelle ne saurait aboutir à la concoction « métaphysique » dans l’hystérésis concomitante à la malversation communautaire actuelle paraphée par des politiques philosophiques tatouées au nombril de leur monde.

Les ambiances du matérialisme impérieux associé au cynisme ontologique accaparant en sont les principales faillibilités de l’épistémologie sociologique véhiculée par les néfastes clowns abrités des mauvaises zones de vie. Le vent des émois égocentriques a pris le pas sur le temps des incontinences philosophiques au bénéfice des croyances aliénées par doctes néo-scientistes édictant que vivre dans un paralogisme de groupes fermés serait le syllogisme intellectuel d’une politique sociale économique et culturelle ouverte.

Quelle connerie perfide ! La sémantique de l’inorganique n’y changera rien, temps que la pensée humaniste ne s’opposera pas aux conformismes religieux et tout ordre spirituel laissant croire à la plèbe que l’émancipation, physiologique et psychologique, est proche de cette citation édictant que : « Vivre ne serait que le plus lent des suicides ».  Et par conséquent, pourquoi, en cette vergeture sociale, l’opprobre à satisfaisons confortables aurait attention suffisante envers l’exclusion et la différence, si ce n’est à laisser les poisons de l’indifférence s’installer dans l’ignorance des classes inutiles à matérialisme inflationniste… dans notre monde fini.

L’indifférence est-elle le plus bas degré de la liberté ; entre Orgueil, Emprise, Usure et Félonie ?

La jalousie est une source de souffrances aussi bien pour la personne qui en fait les frais que pour celle qui la manifeste. Elle peut devenir maladive, elle est alors source de souffrance pour son auteur comme pour son objet. Elle entraîne souvent colères, rancœur, voire haine dont la réalité s’exprime dans des  manifestations violentes entre possédés(es) et possédants(es).

A l’ère de l’information et de la communication l’ignorance est un choix. Et si tous ces déséquilibrés… l’étaient vraiment ?  

Il y a quand même un gros problème dans nos sociétés : ‘’ Outre l’accroissement de la population mondiale il semblerait que ce développement s’adjoint un accroissement proportionnel du nombre de malades mentaux et de débiles profonds. Et, bien qu’ils s’y ajoutent, je mets à part le nombre impressionnant d’humains non pas décérébrés mais déculturés ou qui, en raison du milieu où ils vivent, n’ont pas eu la chance et/ou les conditions nécessaires, utiles et essentielles pour se développer intellectuellement : ceux-là sont la cible et la proie de toutes les sectes et autres organisations de type mafieux pour lesquelles ils constituent une masse providentielle de chair à canon’’.

 Or, de tous temps les « déséquilibrés » ont toujours cherché la célébrité. Et beaucoup y parviennent en entrant en politique : leur nombre y est toutefois malaisé à estimer. Comme celui de cette nouvelle caste d’influenceurs et influenceuses présente sur les nouveaux réseaux ‘’virtuels’’ où la seule et inique valeur est la déesse de la ‘’vitrine’’.Les médias traditionnels – dont le rôle est désormais de masquer les réalités sous peine pour les journalistes contrevenants d’aller prestement s’inscrire à l’ANPE, l’ONEM, ou autres organismes de gestion d’assurance chômage de l’UE – ont depuis longtemps usé du terme «déséquilibré» pour identifier toutes dissidences non conformes à la ligne du clan et des gouvernances scellées aux pouvoirs dogmatiques sans autres férules qu’une forme de division des savoirs-être et soustraction des savoirs faire. Pourtant, en toute honnêteté et sans vouloir disculper toute la presse ni tous les supports médiatiques, ils n’ont pas tort sur toute la ligne quant au pinacle de l’austère règle sociale-économique et culturelle intervenu à la fin des années 80 par prescription arguant, notamment à partir de la construction européenne – inaboutie – en engeance du Traité de Rome, une charte floue, ayant porté nombre de déséquilibres défiscalisés des lois et règles du contrat social affiché aux potentialités d’une juste Liberté, Egalité, Fraternité et justice sociale entre les peuples d’Europe, voire du monde… où l’Union Européenne fut certainement créée en croyant que cette nouvelle ‘’association’’ éviterait les guerres sur ce continent, tout en oubliant les règles déviantes des empirismes POLITICO – CULTU®ELS.

Ne sont-ils pas réellement tous déséquilibrés ? Ils sont d’un nombre non négligeable et suffisant au chaos. Et comme dirait Toto : « En voilà une question qu’elle est bonne ! ». Non ?… Et en effet, de deux choses l’une : soit ces paisibles ne sont en réalité que des « dormants » – asthéniques et apathiques attendant leur heure –  soit ils sont tout aussi déséquilibrés que les autres.  Je serais, bien, tenté d’haranguer : ‘’ La pensée positive n’incite-t-elle pas à adhérer à cette maxime : « les grandes choses ne se produisent jamais dans ta zone de confort » ? Sauf à qui connaît les faiblesses de l’esprit des hommes.  Et, les skieurs chevronnés le savent bien –  sortir des pistes balisées est certes palpitant mais jamais sans risques.

Quant à l’objet des sciences sociales, on ne fait qu’accumuler des connaissances sans précédent sur la diversité des langues et des sociétés humaines, avec un effort sans précédent lui aussi, en tant qu’inventaire et conservation du patrimoine culturel à l’échelon mondial, alors que son véritable degré appelle à présent une réflexion théorique afin de penser la diversité de ce patrimoine, dans le temps comme dans l’espace. Nous sommes confrontés au défi de mettre en valeur la diversité culturelle d’aujourd’hui, pour éviter qu’elle ne se réduise à la portion congrue de sa propre incompréhension aseptisée ; voire irrationnelle ou psychotique.

Du même auteur, déjà publiés : Editions du LYS BLEU

Au vent des émois – Textes & Poésies

Au-delà des quarante malencontreuses

– Essai social économique

Entre Libertés & Attachements – Poésies

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